C'est sous ces deux adjectifs que devront désormais être respectivement qualifiées les formes post-conciliaire et tridentine du rite liturgique catholique romain; ainsi en a décidé le Saint-père Benoît XVI.
Peut-être à cause de celui qui sert au Saint Sacrifice, cela me fait penser au vin: ordinaire, celui qui sort du cubi pour être servi sur la table quotidienne, extraordinaire, celui qui vient de la cave du grand-père, à l'étiquette poussiéreuse où se devine plus que se lit Romane Conti ou Château Petrus (notez l'emploi du latin pour nommer ces grands crus extraordinaires)
De fait, si chacun, en fonction de sa bourse, peut comprendre l'emploi du cru pop' pour la table quotidienne, rares sont ceux qui dénigreront un excellent Côtes de Beaune ou Pomerol; Tout au plus peut-on jalouser ceux qui s'en délectent chaque jour... Voilà assurément l'explication rationnelle à la méchanceté sournoise de certains évêques vis à vis de ceux qui usent fréquemment de l'extraordinaire.
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