40 ans... de mensonges, d'illusions, de jeux d'apprentis sorciers, dont les tristes conséquenses sont passées sous silence; pourtant, les arguments scientifiques sont légions pour décourager de l'utilisation des contraceptifs à base d'hormones de synthèse, mais ils peinent à émerger de la chape de plomb idéologique qui les recouvre.
Témoin, cette étude de l'université de Berkeley concluant à l'extrême dangerosité des hormones de synthèse (H de croissance...) l'étude notant prudemment que toutefois les oestrogènes et progestatifs de synthèse ne sont pas concernés...?? Donc toutes les hormones de synthèse sont dangereuses, sauf celles entrant dans la composition de nos chères pilules, ça va de soi...
Comme il va de soi que les progestatifs purs (pilules micro-dosées par exemple), qui agissent sur l'endomètre (muqueuse utérine) empêchant la nidation de l'oeuf fécondé sont des contraceptifs, et non des abortifs, bien entendu.
Le mensonge est poussé à son comble quand d'éminents médecins et professeurs d'université affirment que tout cycle différent de 28 jours est pathologique (enseigné en PCEM), ou encore que l'utilisation de la pilule plus de 5 ans augmente la fécondité (site "médical" facile à trouver en première position sur Google add: après vérif, 2ème position), mais aussi que tabagisme et pilule associés ne présentent aucun danger avant 35 ans, etc...
Or le risque est officiellement reconnu: le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), dépendant de l’OMS, a classé la pilule contraceptive parmi les produits cancérigènes du «groupe 1», ceux dont l’action est «certaine». Le Dr Elen Grant, qui avait contribué au développement des contraceptifs chimiques au début des années 60, a écrit un livre intitulé Amère pilule pour en dénoncer les dangers, minimisés par les gynécologues. Le British Medical Journal a révélé qu'en Europe, où Jasmine est commercialisée depuis 2000, et serait aujourd'hui déjà prescrite à 500 000 femmes, 40 cas de phlébites, dont deux mortels, ont été observés chez des utilisatrices de cette pilule combinée.
A ceux qui prétendent encore que la consommation de tabac est certes une contre-indication absolue à la prise d’une pilule combinée (contenant de l’éthynil-estradiol), car l’estrogène présent dans les pilules combinées est susceptible de favoriser la formation d’un caillot dans un vaisseau sanguin fragilisé, mais à partir de l’âge de trente-cinq ans, et pas avant, il faudrait demander d'en discuter avec les femmes, y compris de moins de 30 ans donc pas forcément âgées, qui décèdent à la suite de thromboses, et dont la plupart prenaient la pilule; évidemment, les morts ne peuvent témoigner...
Je me souviens d'un cancérologue expliquant que si la consommation de tabac représentait un risque cancérigène à partir de l'équivalent d'un paquet par jour pendant dix années, la prise de progestatifs associés au tabac, elle, présente un risque d'accident vasculaire immédiat, dès le premier jour...
Sans même entrer dans toutes ces démonstrations scientifique, le bon sens conclue qu'il n'est jamais anodin d'aller contre la nature, de cela au moins vous conviendrez, Messieurs les écolos...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire